Nous vivons une époque charnière où l’intelligence artificielle (IA) s’impose progressivement comme un
outil d’aide à la décision, d’optimisation et d’automatisation dans presque tous les secteurs, y compris celui de la justice.
Dans nos pays africains, confrontés à une surcharge des tribunaux, à des lenteurs procédurales, à un accès encore inégal à l’information juridique, l’IA apparaît comme une promesse d’efficacité, de transparence, voire de démocratisation de la justice.